jeudi 24 février 2011






« Le phénomène musical des sounds était très répandu, mais seulement dans un certain milieu. C’était un truc des bas quartiers. Mais ce qui a été déterminant, au-delà du simple fait d’écouter de la musique, c’est qu’on pouvait physiquement en sentir les vibrations, du fait de la puissance des équipements. Quand on dansait, on avait l’impression d’en faire partie. C’était à nous, et presque tous, nous voulions pouvoir y contribuer ». Derrick Harriott.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire